Nous vivons une crise
sanitaire, sociale et économique sans précédent. Les entreprises ont toutes été
touchées de près ou de loin par ce violent choc économique. Une récession de
l’ordre de 11% est annoncée. Aujourd’hui, plus que jamais les entreprises ont
dû et devront faire preuve d’adaptabilité et de flexibilité.
L’organisation de travail a dû être revue et de nouvelles dépenses se sont imposées. Les budgets ne pourront être atteints dans le cadre d’objectifs ou respectés dans le cadre des dépenses. Pour amortir l’impact de cette crise, les entreprises n’ont d’autre choix que de réviser leur budget et de revoir leurs stratégies à court et à long terme. C’est la fonction même d’IBM Planning Analytics.
Quels outils peuvent
les aider dans leur prise de décision ?
Le Forecast ou révisé avec IBM Planning Analytics :
Le forecast consiste
à mettre à jour l’atterrissage de fin d’année à partir du réalisé et du reste à
faire. Il est généralement trimestriel ou mensuel.
Le Rolling Forecast
ou révisé glissant :
Le Rolling Forecast permet de réaliser des prévisions glissantes sur une période donnée sans s’arrêter à la fin de l’année comme c’est le cas pour le budget ou les phases de forecast. De façon trimestrielle ou mensuelle, des prévisions sur quatre à six trimestres glissants sont réalisées.
Forecast vs Rolling Forecast :
Le Forecast met les
projecteurs sur la fin de l’année mais plus on se rapproche de la fin de
l’année et plus la vision sur l’avenir se restreint. Au 1er janvier
un nouveau processus budgétaire recommence sans continuité.
A contrario, avec le rolling forecast d’IBM Planning Analytics, l’entreprise a toujours une vision d’avenir proche ce qui permet une meilleure perspective et flexibilité. Selon une étude menée par IBM, le Rolling Forecast offre :
12% de précision en plus aux entreprises
50% de gain de temps à la préparation du budget
Une augmentation de rentabilité de l’ordre 10%.
Toutefois, pour que
le rolling forecast soit efficace il faut :
Se limiter aux KPI de l’entreprise (selon son
secteur) au risque de se perdre dans la granularité de l’information et de
surcharger les équipes
Une adhésion se traduisant par un révisé glissant
participatif
Automatiser le processus via un outil de
planification collaboratif, sécurisé et évolutif.
Sous ces conditions,
le révisé glissant facilite la prise de décision pour l’entreprise.
Mais cette crise que
nous traversons à fait aussi apparaitre une nouvelle nécessité : le révisé
budgétaire. En effet, Forecast et Rolling Forecast s’appuient tous deux en
grande partie sur le budget établi pour l’année en cours. Or, la violence du
choc a été telle que le budget prévu est hors de contrôle sur le plan des
revenus et les dépenses doivent donc être révisées en profondeur. Nombre
d’entreprises sont d’ores et déjà dans une nouvelle prévision budgétaire
couvrant le semestre 2 de 2020 et l’année 2021 afin de maitriser leur
trajectoire tant elles sont dans une situation inconnue.
Les organisations qui se sont préparées et équipées de véritables outils d’élaborations budgétaires sont clairement plus réactives, plus rapides, plus précises et collaboratives que leurs concurrentes en retard dans ce domaine.
Elles peuvent donc plus simplement avec IBM Planning Analytics, faire circuler l’information et susciter un dialogue de gestion plus large et réactif à même de faciliter l’alignement opérationnel de l’ensemble des services sur les changements stratégiques décidés par les comités de direction.
Les habitudes de consommation sont en constante évolution et poursuivent leurs mutations de manière accélérée. Le Digital a complètement bouleversé notre comportement d’achat. Les produits mis à notre disposition en magasin, en boutique, sur les sites de vente en ligne doivent être disponibles ou livrés en un laps de temps de plus en plus réduit.
Les délais courts, la rotation des stocks, indicateur clé des fonctions de contrôle de gestion et de logistique, ainsi que le nombre croissant de références requièrent un pilotage sans faille des approvisionnements.
A travers ce webinar, vous découvrirez comment les équipes d’Optiva Consulting sont à même de vous accompagner dans l’optimisation de vos délais de réapprovisionnement et des coûts inhérents, tout en répondant aux nouvelles habitudes de consommation de vos clients actuels et futurs.
Rejoignez-nous à l’occasion de ce webinar qui vous est entièrement dédié.
La capacité des ordinateurs portables intègre les ordinateurs portables Jupyter dans IBM® Cognos Analytics. En utilisant des ordinateurs portables, les utilisateurs peuvent exécuter des scripts Python contre les données de Cognos Analytics.
Les utilisateurs peuvent :
Analysez les données pour obtenir des informations exploitables à l’aide de Python et enregistrez les ordinateurs portables comme une ressource Cognos Analytics qui peut être partagée et planifiée.
Façonner les données et mettre de nouvelles ressources de données à la disposition des utilisateurs de Cognos Analytics. Ces actifs de données peuvent être utilisés pour construire des tableaux de bord, des rapports, des modules de données et d’autres contenus.
Intégrez les cellules de sortie de l’ordinateur portable dans les tableaux de bord de Cognos Analytics.
Actuellement, la capacité de l’ordinateur portable est prise en charge par les installations sur site de Cognos Analytics. Un administrateur doit permettre aux utilisateurs d’accéder à la fonctionnalité Ordinateurs portables avant de pouvoir effectuer l’une quelconque des activités de l’ordinateur portable.
Cognos Analytics inclut quelques échantillons de bloc-notes pour vous aider à démarrer. Pour plus d’informations, voir Exemples de blocs-notes Jupyter.
IBM Cognos Analytics 11.1.02
Cognos Analytics 11.1.2 est disponible. La première version depuis la très attendue version 11.1 à la fin de l’année dernière.
La version 11.1.1.1 était, en effet, une version passionnante, infusant de nouvelles perspectives d’exploration, un assistant cognitif et une fonctionnalité de modélisation et de préparation de données.
La première chose à souligner est qu’il considère la version 11.1.2 comme une version d’assurance qualité – plus axée sur la stabilité de la plate-forme et moins sur la nouvelle et brillante capacité frontale.
Une nouvelle capacité de collaboration et de science des données sous la forme d’une prise en charge des ordinateurs portables Jupyter au sein de Cognos Analytics.
Cela permettra d’apporter un code et des ressources open source et de les connecter à des sources de données bien gérées et gérées par Cognos Analytics. Une fois utilisées, les informations peuvent ensuite être partagées dans des tableaux de bord, des rapports et des modules de données.
Et maintenant, vous pouvez réunir tous vos analystes de données, scientifiques de données et analystes d’affaires sur la même plate-forme pour collaborer ensemble.
Qu’en est-il des autres nouvelles fonctionnalités de Cognos Analytics 11.1.2 ?
Cognos Analytics peut désormais prendre en charge de nouvelles sources de données, telles que Microsoft Analysis Services 2017 et les terminaux HTTP XMLA.
La modélisation des données au sein de Cognos Analytics prend désormais en charge un mode de mise au point, permettant de simplifier les modèles de données complexes en fonction de quelques tables sélectionnées et de leurs relations, ainsi qu’une nouvelle fonction d’auto-arrangement qui peut redessiner vos diagrammes de modèle autour d’une table ciblée. Dashboarding & Stories a ajouté quelques nouvelles fonctionnalités, cette fois-ci permettant aux utilisateurs de créer leurs propres ordres de tri et groupes de données personnalisés (auparavant limités aux modules de données, mais maintenant disponibles dans votre tableau de bord). La possibilité d’ajouter à nouveau des informations Jupyter dans votre tableau de bord permet à différents utilisateurs d’analyse de collaborer et de partager leurs informations, quelle que soit la manière dont ils choisissent de les créer.
Il s’agit en priorité de s’assurer de la confidentialité, de la qualité et de l’intégrité des données pour plus de 9 répondants sur 10. La conformité réglementaire (citée par 88% du panel) et l’optimisation de la valeur stratégique des données (83%) arrivent ensuite.
Les DRH qui n’optent pas pour des solutions dédiées s’appuient sur « les fonctionnalités de gestion de données proposées par leurs fournisseurs de solutions RH » existants, a indiqué Hélène Mouiche, analyste senior chez Markess by Exaegis et auteur de l’étude.
Plus que jamais, la fonction Finance se trouve au cœur de l’efficacité des entreprises. Alors que le pilotage de la performance reste, toute taille d’entreprise confondue, la priorité à court et à long terme, la question de la gestion des compétences prend de l’ampleur à 3 ans, notamment au regard des transformations digitales en cours.
Ces enjeux diffèrent fortement en fonction de la taille de l’entreprise. Alors que les grandes entreprises placent d’abord la question de la maitrise des risques comme l’un des enjeux majeurs de l’année 2018, les TPE / PME ont à cœur la notion de financement pour assurer leur futur.
Les priorités d’aujourd’hui ne sont pas celles de demain
Une forte hétérogénéité des priorités par taille d’entreprise à l’exception du pilotage de la performance
Le Directeur Financier, un partenaire stratégique
La notion de « Business Partner », pourtant loin d’être nouvelle, reste encore et toujours la plus plébiscitée dans le rôle joué par le Directeur Financier. Les anglo-saxons parlent de Chief Performance Officer (CPO), soit le conseiller de la performance de l’entreprise.
Pour endosser la pleine mesure de ce rôle, une transformation organisationnelle et digitale doit se mettre en place à travers 4 dimensions :
Le capital humain : capitaliser sur la diversité des compétences métiers et mettre en avant la créativité associée à la prise d’initiatives
La performance : lier l’évaluation de la performance avec les résultats économiques de l’entreprise
Les rôles au sein de l’entreprise : définir clairement la répartition des rôles afin de se concentrer
Technologie : faire parler les données et les interpréter grâce à l’utilisation des nouvelles technologies
[pie_chart separator= »yes » percent= »55% » percentage_color= »#e819c9″ active_color= »#ffffff » text= »Des Directeurs Financiers indiquent jouer en priorité un rôle de Business Partner au sein de l’entreprise » separator_color= »#ffffff » percent_font_size= »14″ noactive_color= »#bf15a5″ line_width= »28″ text_color= »#000000″]
Quelles raisons conduisent à transformer la fonction finance ?.
Le pilotage de la performance, une priorité de transformation
De nombreuses fonctions finances se transforment pour faire face aux défis de l’avenir, en particulier pour acquérir plus d’agilité. Ainsi, 79% citent le pilotage de la performance comme un axe de développement et de transformation.
Les Directeurs Financiers indiquent que ces projets se heurtent parfois plus à une problématique de coûts et qu’à un manque de visibilité sur le ROI. Ce dernier permettrait pourtant aux Directions Financières de pallier à un mode de sélection fait uniquement par les coûts et ainsi privilégier le choix de projets peut-être plus coûteux mais présentant un ROI supérieur.